Dédié à Félix.
Tu kiffes prendre les vents rageurs en pleine tronche et sentir tes testicules trembler comme des feuilles mortes ?
Tu tombes bien ! Laurence Wasser existe et va t’arranger les bigoudis.
Qwé ? Une femme ? Doucement les gars… presque.
Irrémédiablement déçu par la gente féminine, Laurence a décidé de prendre les choses en main et de l’envoyer promener une bonne fois pour toute aux quatre pets en s’affublant de vrais faux seins en plastique et d’un prénom qui sent aussi bon qu’un parfum d’Estée Lauder. Sûr, nous n’y perdons pas au change !
Maté moi ce regard moite, cette croupe racée, ce sourire superbement défait. Franchement les mâles, on n’est pas bien entre mecs ? A la fraîche, décontracté du gland et tout le saint tsouin-tsouin ?
Alors embarquons le rutilant bolide de notre nouvelle amie, laissons nous promener et turbines nitroglycérinées à fond les ballons, arrachons les brûlants undergrounds asphaltés bercés par le doux froissement des tôles… Yeah !
Déchirons nos fringues, suons tout notre saoul et debout, solidement amarrés au pare-brise, laissons nous gagner par les rages inassouvies de notre talentueux multi-instrumentiste qui, oui, a tout fé tout seul comme une grande dans ce torride MGV (Morceau à Grande Vitesse ndlr).
J’crois qu’ça yé, elles tremblent!
Ciao les filles.Audio: http://soundcloud.com/ademselekcheune/dem-25-laurence-wasser-der